Exemples de récits du livre « Un Peu de Romantisme Dans le Chant des Corps »

Ci-dessous, vous trouverez des histoires éditées dans ce livre et qui permettent aux Femmes et aux hommes d’être plus épanoui sexuellement.

Histoire 1 :

Cette histoire est très particulière. Elle est extraite d’O.L’s.W. 4 A l’Aube de
l’Univers.

C’est la première fois que l’une des scènes d’amour physique que je décris utilise
la technologie d’Utopia afin de sublimer le plaisir, et le résultat est plus que….
surprenant.

Chapitre 41 : Consécration

Le lendemain matin
Récit de Daniella

Je me réveille. Marc et Sarah dorment encore, Sarah dort la tête au creux de mon
épaule droite, ma tête est nichée au creux de celle de Marc.
Entre eux, je me sens bien, en paix. C’est en ces moments que je suis heureuse d’être
revenue sous forme matérielle. L’amour physique me manquait.

Sans bouger, pour ne pas réveiller mes amours, je revoie les images d’hier soir. Une
nouvelle fois Marc a démontré son pouvoir de persuasion. Bien sûr, de nombreux
hommes sont restés sur leur position. Ils n’ont pas l’intention de changer. Mais cette
fois, ils vont être confrontés à un ennemi aussi impitoyable qu’eux : le B.P.C.E.
Cette journée sera très importante pour plusieurs raisons. La première est : l’entrée en
service du Bataillon Parapsychique de Contre Espionnage. Ensuite, Unité et Marc
nous prépare une surprise. Enfin, ce ne sera pas une surprise pour moi, étant donné
qu’au-travers de mes pouvoirs, je sais déjà ce qu’ils vont nous annoncer.
Je pense également à tous les défis qui nous attendent : la première humanité qui
nous attend dans la constellation du Paon, les êtres de l’Aube de l’Univers et cette
« porte » qui donne accès sur … quoi ?

Cette mystérieuse sonde qui nous espionne, d’où vient elle ? Qui sert t-elle ?
Je cesse ma cogitation intellectuelle lorsqu’une douce chaleur monte en moi.
Marc vient de se réveiller et ses lèvres se sont posées sur ma poitrine.

Il l’embrasse doucement, Sarah relève la tête. Elle aussi est réveillée. Elle se couche
sur le côté, la tête posée sur sa main. Elle nous admire. L’une de mes mains part à la
recherche de son ventre, sa peau frémis sous mes doigts.

Trop fatigués, nous n’avons pas fait l’amour hier, mais il semble que nous allons nous
rattraper ce matin. D’un ordre mental, je donne l’ordre à l’ordinateur de l’écrin
d’amour de faire monter la température de la chambre. En quelques secondes elle
atteint 28 degrés.

D’un autre ordre mental, je fais apparaître le jaccuzzi. Dans le plancher de la chambre, une ouverture circulaire de six mètres de diamètre est apparue, le jaccuzi monte d’une cinquantaine de centimètres, sa base reste sous le niveau du plancher.
Je souris à mes amours. Nous nous levons et entrons dans l’eau qui reste à 39° celsius.
L’ordinateur de l’écrin qui a détecté notre entrée dans l’eau a activé des champs de force qui dirigent des milliers de bulles directement vers nos corps nus.
Grâce à ces champs, les bulles nous caressent et nous enveloppe. L’effet est divin.

Les bulles ne sont pas les seules à me caresser, Sarah et Marc multiplient les gestes tendres et les baisers envers moi. Nous nous embrassons tous les trois avec sensualité. Des projecteurs thermiques cachés dans le plafonds s’activent et imitent l’effet de la chaleur du soleil sur nos visages. Les mains de mes amours se mêlent aux milliers de bulles je frissonne, non de froid mais de plaisir, la chaleur de l’eau conjuguée à ces milliers de doigts caressant ma peau et leurs quatre mains qui me font vibrer mais aussi les champs de force que je ressent comme une étoffe de soie
qui glisse sur ma peau me font atteindre l’extase. Une jouissance infinie fait exploser mes sens. Sarah et Marc sont dans le même état que moi. Nos caresses mutuelles nous font jouir ensemble.

Le programme informatique concocté par Marc lui-même ajoute de nouvelles sensations. Par réflexologie, de nouveaux champs de force nous font un massage des doigts de pieds et de la voûte plantaire. La jouissance est ininterrompue. Nous poussons tous les trois des gémissements de plaisir.

Sarah s’assied sur les cuisses de Marc, face à lui, je guide son sexe en elle. Je colle ma poitrine contre le dos de Sarah en lui prodiguant de nombreux baisers et caresses.
L’ordinateur ajoute alors de nouveaux champs de force qui séparent nos corps de quelques dixième de millimètre. De nouvelles bulles très petites glissent entre nous, partout entre nos corps.

Les champs qui guident ces « micro-bulles », génèrent un massage de nos corps. Je sens ces mini-bulles caresser mes seins, mon pubis et mes fesses. Un premier orgasme explose en Sarah qui s’agrippe à nous : une de ses mains tient Marc par l’arrière de sa tête. Son autre main tiens ma hanche.

Elle se détache très lentement de Marc. Elle m’embrasse et m’invite à la remplacer.
C’est elle maintenant qui guide Marc pour l’introduire en moi. Je sens son membre durcit qui écarte mes lèvres intimes et commence l’exploration de mon vagin. Mais très vite, Marc veut changer de position. C’est alors que la technologie mise au service de l’amour et du plaisir intervient à nouveau. Marc se relève. Il a les mains posées sur mes fesses mais ne doit pas me porter ni me tenir. Un champ de force supplémentaire soutien mon corps. Je flotte, à moitié dans l’eau et à moitié dans l’air.
A 45°, je laisse Marc glisser en moi de plus en plus vite.

Sarah n’est pas oubliée. D’une ordre mental, Marc donne l’ordre à l’ordinateur de « porter » Sarah pour amener son bassin à hauteur de son visage. Elle flotte dans l’air, sur le ventre. Marc la lèche doucement. Le visage de Sarah est juste en face du mien et nous nous embrassons. Sous l’impulsion de l’ordinateur, une partie de l’eau se divise en « bulles d’eau », lesquelles nous enveloppent presque totalement, seul nos visages restent à l’air libre.

La bouche de Sarah descend vers ma poitrine. Le champ s’adapte et suit les mouvements de son visage. Celui-ci reste en dehors de l’eau. Je pousse un gémissement, lorsque la bouche de Sarah s’empare avidement de la pointe d’un sein et le mordille doucement. C’est à mon tour d’avoir un orgasme. Même en amour physique Marc est dans le don total. Je lui ai appris l’amour inconditionnel
mais cette fois, le disciple a dépassé le maître. L’énergie d’amour qu’il fait couler à flot vers nous nous traverse et nous transperce. Son sexe qui m’explore tantôt doucement, tantôt violemment, me fait gémir de plus en plus fort.
La langue de Marc et ses doigts, qui ne doivent pas me porter, font crier de plaisir Sarah qui perd pied avec la réalité.
Pour augmenter encore le plaisir qu’il nous donne, Marc fait évoluer le champ qui nous porte afin de nous faire tourner lentement dans l’air et dans l’eau. En apesanteur, je me détache de Marc car je veux lui donner moi aussi, en donnant de nouveaux ordres mentaux, je descend vers son sexe et ma bouche s’en empare. Il pousse un gémissement plus fort au moment où ma langue le caresse.
Sarah elle aussi commande l’ordinateur et fait en sorte que son visage se retrouve entre mes cuisses.
Pendant que je donne du plaisir à Marc avec mes lèvres et ma langue. Sarah veut me donner en même temps. J’ai un nouveau frisson de plaisir lorsque ses doigts écartent mes lèvres intimes et sa langue se pose sur mon clitoris.

Notre « cercle » de plaisir nous comble de bonheur. De nos bouches, nous donnons tous les trois un plaisir grandissant. Sous mes coups de langue, Marc devient fou et il reprend difficilement le contrôle, lorsque je sens son sexe gonfler prêt à éjaculer.

Mais son contrôle sur son corps est total et il veut continuer à nous donner. Je sais qu’il déteste la sensation de fatigue après l’éjaculation à cause l’oxytocine, la prolactine et l’acide gamma-aminobutyrique qui déferlent dans le corps de l’homme après l’éjaculation. Je sais qu’il préfère se retenir pour « rester » dans le plaisir avec ses partenaires. Encore un signe de son don total pour la femme. Il est très rare qu’il éjacule et, souvent, c’est à notre demande.

L’eau chaude qui nous enveloppe, les bulles qui nous caressent la langue et les lèvres
de Sarah et l’excitation de faire tressauter Marc sous le plaisir génère en moi un
nouvel orgasme. Encore plus fort, encore plus long. Sarah me rejoins rapidement en
laissant exploser le sien en elle.
Je me sens emportée en retournée sur le ventre et Marc se couche sur mon dos pour me caresser et me masser. Il donne l’ordre mental aux champs de force d’augmenter la douceur de ses caresses. Sarah s’est couchée sur lui et fais la même chose.

Grâce à la technologie développée par Unité, nous pouvons sublimer l’amour physique et le rendre exponentiel.
Durant plusieurs minutes, je profite de ce massage magnifique. Ensuite, par de nouvelles instructions, je suis retournée et, toujours flottant dans l’air, Marc me masse et caresse la poitrine. Ses doigts volent avec la légèreté d’ailes de papillons. Il masse mes seins, très doucement, il mélange caressent des doigts et baisers, il prend la pointe de mes seins entre deux doigts et les serrent très doucement. Je sens que son seul massage va me faire jouir une nouvelle fois. Surtout que Sarah a dérivé jusqu’à moi, elle écarte lentement Marc et cette fois, ce sont quatre mains qui me caressent voluptueusement. Mes amours alternent caresses tendres et appuyées sur l’ensemble de mon corps. Mes gémissement reprennent de plus belle.

Laissant Sarah continuer à me masser, Marc passe derrière elle et reprends possession de son corps. Il lui arrache un cri, lorsqu’il la pénètre et la possède totalement.

Je leurs dis lentement : – je vous aime. Ils me répondent à l’unisson : – je t’aime.
Grâce à notre évolution spirituelle, nous avons assimilé et magnifié le Multi – Amour.
De façon naturelle, les femmes de la vie de Marc, sont tombées amoureuses les unes
des autres. C’est dû au fait que la femme est naturellement sensuelle. Certains hommes bisexuels pratiquent l’amour à trois : une femme et deux hommes.

Mais Marc n’a jamais été attiré par un autre homme. Mais, et à nouveau, c’est une preuve de son humilité, il ne nous a jamais demandé à nous ses compagnes de faire l’amour entre nous. Mais l’alchimie et la magie de l’amour a opéré, et nous sommes également tombée amoureuses les unes des autres.
Et lorsque nous faisons l’amour, nous ressentons un plaisir sans limite. Lorsque nous sommes avec lui, nous oublions tout. Nous oublions l’espace et le temps.

Une nouvelle caresse de Sarah sur mon sexe m’arrache un nouveau gémissement. Par télépathie j’entends la voix de Marc : – je vous aime mes amour. Je vous aime plus
que ma vie.
Je lui réponds : « nous aussi mon amour. Tu es notre vie et notre futur. Et tu nous rends heureuse. »

« C’est vous qui êtes mon bonheur. Avec vous, j’oublie tout. Le temps s’arrête. »

Comme si le plaisir n’était pas assez grand, il crée le « point d’orgue » de notre fusion. Un nouvel ordre à l’ordinateur et de nouveaux champ de force transforment les bulles d’eau qui nous enveloppent en autant de doigts et de lèvres.
Instantanément, Sarah et moi sommes caressées par des milliers de doigts et de lèvres. En moins d’une minute, le résultat ne se fait pas attendre, un nouvel orgasme survient. Connectée mentalement, Sarah et moi décidons de l’avoir au même moment. Il monte, et explose en nous simultanément. Nous partageons un cri commun.

Pendant que le plaisir s’apaise, l’eau reprend sa place normale dans le jacuzzi et de l’air chaud nous sèche. Enfin, un dernier champ de force nous ramène dans le lit.
Nous décidons de dormir à nouveau une heure, mais avant de laisser le sommeil m’emporter, je regarde Marc dans les yeux et lui dis : – j’ai une grande nouvelle à t’annoncer. Interpellé il attend, mais avant que j’aie répondu. Sia lui a soufflé ce que
je m’apprête à lui annoncer. Il a un sourire tendre et me dis : – tu attends un heureux événement.
Je hoche la tête : – oui.
Sarah : – c’est merveilleux Daniella.
Je vois que Marc réfléchis intensément, puis il déclare – mais tu sais ce que ça veux dire ?
– Bien sûr, je vais rester toute cette vie avec vous.
– Ça ne te manquera pas de ne pas retourner « là-haut » avant très longtemps ?
– Non. Je vous aime trop pour revenir à l’état de maître ascensionné. De plus, de
nombreux autres défis nous attendent et je veux être là à vos côtés

Histoire suivante

La suivante est très intéressante car elle a tenté de nombreuses Femmes hétéro de tenter de faire
l’Amour avec un homme et une Femme. Certaines ont même essayé et ont adoré.

Récit de Marc

Sans nous être concertés Sarah et Hammaïdini sont restées avec moi dans le « salon-rivière ».
Les autres nous ont quittés afin de prendre un peu de repos.
Nous nous retrouvons tous les trois comme en Autriche, au tout début de l’aventure du manuscrit.
Je leur dit : – mes amours, vous vous rappelez l’Autriche ? Notre première nuit d’amour tous les
trois ?
Hammaïdini : – Oh oui. Que de chemin parcouru depuis.
Sarah : – c’est à la fois proche et lointain. J’ai l’impression que c’était hier et, en même temps,
c’était il y a des siècles.

  • Dans vos bras, je voudrais tout oublier jusqu’à demain.
    Sans attendre plus longtemps, Hammaïdini me serre dans ses bras et m’embrasse. Je donne un ordre mental à l’ordinateur de l’écrin. Nous sommes tous les trois téléportés dans le nouveau salon Egyptien de l’écrin d’amour.
    Le salon Egyptien du premier écrin d’amour sur Utopia 1 était magnifique. Ce nouveau salon
    est tout simplement idyllique.

    Grâce à la technologie Orlannes, une reconstitution holographique en trois dimensions des
    pyramides de Gizeh donne l’impression que nous y sommes réellement. L’imagerie est à ce
    point parfaite que nous avons l’impression de pouvoir toucher les pyramides. J’ai un moment de tristesse en repensant qu’en 2021 des extrémistes religieux ont fait exploser la tête du Sphinx ainsi que les couloirs d’entrée des pyramides de Khéops et de Khéphren, prouvant ainsi leur imbécillité et leur barbarie.
    Mais stop. Nous sommes là pour nous détendre.
    Des projecteurs de chaleur imitent le soleil à la perfection.

    Sur le site réel des pyramides, le Nil est distant. Dans ce salon, j’ai voulu recréer une copie du
    fleuve en miniature. Une eau pure et limpide coule de l’amont vers l’aval.

    Des Ibis majestueux volent dans le ciel. L’imagerie Orlannes est si parfaite qu’ils paraissent
    vrais. Lorsque certains d’entre eux piquent vers le sol, nous entendons leurs battements d’ailes.
    Un doux vent chaud nous caresse le visage et le corps. Hammaïdini et Sarah s’étendent sur un immense lit en pierre de plusieurs mètres de large et autant de long, sur lequel sont posés un matelas entouré d’un drap de lin et d’épais coussin moelleux. Le lit se trouve à moitié sur le sable, et à moitié dans l’eau. Elles s’embrassent. Je me couche non loin d’elles et la tête posée sur ma main, le coude replié. Je les admire.
    Le corps de la femme est magnifique. Toutes les femmes sont magnifiques. Voir deux femmes faire l’amour est pour moi la plus belle image de la création. Pour moi la femme est Dieu et j’admire Dieu faisant l’amour à Dieu. Je suis l’homme le plus heureux sur Terre.
    Leurs lèvres unies, l’une des mains de Sarah caresse la joue d’Hammaïdini, l’autre lui caresse la poitrine. Elles sont couchées sur le côté face à face.
    Elles sont si parfaite que leur beauté paraît irréelle.
    Hammaïdini se laisse faire, lorsque la bouche de Sarah s’empare de la pointe d’un sein. Elle
    soupire d’aise.
    Ce soir : pas de générale en chef des forces terrestres, pas d’Amirale de la flotte d’Utopia, mais deux femmes que j’aime par-dessus tout.
    Je n’ai pas envie de les rejoindre tout de suite, je veux m’emplir de leur beauté.
    J’ai envie de leur crier mon amour, j’ai envie de les aimer, de leur faire l’amour jusqu’à ce que
    le sommeil nous emporte.
    Mais j’attends. J’attends que mon désir échappe à mon contrôle.
    Après la poitrine, Sarah embrasse le ventre d’Hammaïdini. Celle-ci, les yeux fermés caresse les cheveux de Sarah.
    Le désir d’Hammaïdini devient impérieux, elle écarte les cuisses pour inviter Sarah à goûter son intimité. Sarah réponds rapidement à sa demande silencieuse et quelques secondes plus tard,
    Hammaïdini pousse un gémissement lorsque la langue de Sarah se pose sur son clitoris.
    Nulle image ne surclasse en beauté deux femmes qui font l’amour. Le bassin d’Hammaïdini
    ondule pour épouser les mouvements de la langue de Sarah.
    Comme si elles s’étaient concertées, elles tendent une main dans ma direction pour m’inviter.
    Je me rapproche et après un dernier coup d’oeil sur les pyramides qui nous écrasent de leur
    imposante masse, j’embrasse Hammaïdini, laquelle s’empare de mon sexe de sa main. Pris d’une fièvre incontrôlable, je pétris ses seins dont la pointe est tendue vers moi. Mes lèvres ne tardent pas à remplacer mes mains.
    Je ressens les sursauts de son corps qui tressaute sous le plaisir.
    De la bouche, de la langue et des doigts, Sarah donne du plaisir à notre amour commun.
    Je me dirige lentement vers Sarah tout en continuant à couvrir le corps d’Hammaïdini de doux baisers.
    Lorsque je suis proche du visage de Sarah, je me couche à mon tour sur le ventre à côté d’elle.

    Alternativement Sarah et moi de nos langues, nous prodiguons à Hammaïdini de tendres
    caresses, les mouvements de son bassin sont de plus en plus forts. Les yeux embués par le
    plaisir, elle nous regarde pendant que nous la dévorons. La voix entrecoupée de gémissements,
    elle dit dans un souffle : – je vous aime.
    Nous lui répondons que nous aussi l’aimons.
    Sarah et moi nous nous embrassons, nos bouches sont entrouvertes et nos langues qui se mêlent caressent en même temps le clitoris d’Hammaïdini.
    Nous devenons tous les trois fous de désirs. L’un des doigts de Sarah caresse le point g de notre amour, l’un des miens caresse son périnée. Nos doigts qui se trouvent en elle glissent de plus en plus facilement, inondés par sa cyprine dont nos langues se délectent.
    Avec mes mains au creux de ses genoux, je relève les jambes de notre victime consentante qui « subit » les assauts de nos bouches et de nos doigts.
    Je laisse Sarah poursuivre ses coups de langue sur son clitoris. Je descends et, de la pointe de la langue je lèche doucement son anus. Ses gémissements deviennent des cris. Je bascule sur le côté et me place perpendiculairement à mes deux amours afin d’être plus à l’aise. Dans cette position, ma langue caresse son anus et s’enfonce légèrement en elle. D’une main elle pousse la tête de Sarah contre son sexe. Ses lèvres intimes et son anus se contractent sous le plaisir violent que nous lui offrons.
    Ses gémissements et ses cris sont de plus en plus forts, elle se mord les lèvres de plaisir. D’une voix altérée par la jouissance elle me demande d’entrer en elle : – mon amour, j’ai besoin de te sentir en moi. Possèdes-moi fort.
    Le sexe douloureux à force de raidir, je réponds à son attente. Je remonte légèrement et d’un mouvement souple j’entre en elle, très lentement, millimètre par millimètre. Ses mains
    agrippent mes fesses que Sarah embrasse doucement.

    C’est une sensation unique que ne peuvent connaître les adeptes de l’amour exclusif à deux :
    un plaisir sublimé et exponentiel. Une jouissance sans cesse renouvelée.
    Sarah d’une de ses mains caresse nos sexes qui fusionnent sensuellement. Ses doigts glissent sur mes testicules, le long de mon sexe et sur les lèvres intimes de notre amour commun.
    D’une main je soutiens mon corps, de l’autre, je caresse Sarah lovée contre mon dos. Elle suit
    les mouvements de mon bassin, je sens son pubis contre mes fesses ce qui augmente encore
    mon excitation. Hammaïdini me pince les tétons et m’embrasse avec passion. Délicatement, les doigts de ma main libre écartent les lèvres intimes de Sarah et l’un d’eux entreprend de douces caresses sur son clitoris.
    Mais rapidement, Hammaïdini réclame plus de fermeté. La voix rauque de plaisir elle demande :
  • mon amour : prends-moi fort. Je t’en supplie : prends-moi fort, prends-moi vite.
    Alors je l’aide à se retourner, ses genoux et ses mains posés sur le matelas. Je descends du lit
    et, debout, je reprends possession de son corps. Dans cette position, j’ai les mains libres et je
    peux prendre ses hanches pour la tirer plus fort contre moi. Mes assauts se font forts et profonds.
    Soudain, je pousse un gémissement car Sarah qui s’est couchée sur le dos en dessous
    d’Hammaïdini vient de prendre un de mes testicules entre ses lèvres. Dans un souffle, je lâche :
  • mes amours, c’est tellement bon…
    A cause de mes mouvements trop rapides, Sarah ne peut me garder dans sa bouche alors de la pointe de la langue, elle caresse mon sexe qui entre et sort d’Hammaïdini de plus en plus
    violemment. Ses mains posées sur mes fesses accompagnent mes assauts.
    Hammaïdini crie : – plus fort. Encore…
    Alors, j’affermis mes mains sur ses hanches et accélère encore mes mouvements.
    Hammaïdini crie encore : – oh oui ! Comme ça. C’est bon mon amour.
    Une de mes mains lâche sa hanche et se pose sur le bas de ses reins et appuie vers le bas. Ce
    mouvement qui abaisse le creux de son dos, aligne son sexe sur le mien et j’entre encore plus profondément en elle.
    Je sens qu’en plus de sa langue sur mon sexe, Sarah caresse le clitoris d’Hammaïdini qui pousse des cris de plus en plus forts. L’orgasme n’est pas loin.
    Sous l’excitation, mes mains deviennent folles, je prends ses fesses entre mes mains et les
    écartes pour encore plus « l’ouvrir à moi ». Mon bassin frappe violemment les fesses
    d’Hammaïdini. Sans aucune pudeur, je profite de cette position pour m’emplir de sa beauté. Sa croupe divine dressée vers moi, ses lèvres intimes qui accompagnent mon sexe lorsque je
    ressors de son corps, comme pour me retenir en elle, ses seins magnifiques qui bougent au
    rythme de nos mouvements.
    Hammaïdini, sous l’excitation et le plaisir se jette sur moi de plus en plus fort. Je contrôle ma
    respiration pour ne pas laisser le plaisir me submerger, car j’ai mes deux amours à combler,
    alors pas question d’éjaculer.
    Je manque de perdre ce contrôle, lorsque je sens l’un des doigts de Sarah caresser mon anus
    puis entrer en moi. Mais, très vite je me reprends.

    Soudain, dans un cri de libération l’orgasme déferle sur Hammaïdini. Dans un dernier
    mouvement très profond. Je m’arrête tout au fond d’elle et contracte mon pénis. Son vagin, qui se crispe sous les ondes de jouissance qui la parcoure, m’accompagne. Nos sexes s’épousent
    une dernière fois dans une sublime étreinte.
    La respiration saccadée, le cœur battant la chamade, elle s’écroule sur le lit. Sarah et moi la
    caressons tendrement pendant que son corps s’apaise.
    Elle se retourne sur le dos et nous souris. Elle regarde Sarah et lui dis : – à ton tour mon amour.
    Sarah réponds : – avec grand plaisir.
    Je l’aide à se coucher sur le dos. Et, pendant Qu’Hammadïni commence à l’embrasser et la
    caresser. Je me dirige vers son bouton d’amour qui, offert, attends ma langue.
    Je leur dis : – mes amours, je veux jouir en vous faisant jouir. Je veux que vos orgasmes
    soient les miens. Je veux explorer vos corps pendant que vous explorez le mien. Je voudrais que vous ayez envie de moi toute la nuit. Je voudrais faire de cette nuit un souvenir inoubliable qui nous enchaînera plus encore les uns aux autres : prisonniers volontaires de nos corps enfiévrés.

    Tout en regardant Sarah droit dans les yeux, je descends lentement. Je pose mes genoux sur le lit. Mes yeux au fond des siens, j’embrasse voluptueusement sa poitrine. Elle me regarde, les lèvres pincées de désir et de plaisir. Hammaïdini embrasse un de ses seins pendant que j’honore l’autre. Je descends encore. Très, trop lentement au goût, de Sarah qui tente d’accélérer mon voyage vers son sexe d’une pression de ses mains sur ma tête. Mais je résiste. Je veux la rendre folle de désir. Je m’arrête un instant sur son ventre. Ma langue goûte son nombril. Parce que je me suis arrêté sur le chemin de son intimité, elle me lance un : – sadique !

    Mon regard toujours vissé au sien, je fais doucement oui de la tête.
    Lorsque je reprends ma progression vers mon but, elle pousse un soupir de soulagement.
    Lorsque je suis au-dessus de son clitoris, je m’approche jusqu’à quelques millimètres de lui,
    elle sent mon souffle chaud sur lui. Elle tente à nouveau de ses mains de m’approcher
    davantage. N’en pouvant plus, elle pousse son bassin vers ma bouche. Alors je dévie de ma
    route pour poser mes lèvres à côté d’une de ses lèvres intimes. Sarah lance un juron, qui fait
    rire Hammaïdini, qui se délecte toujours de la poitrine de notre amour. Ma langue descend
    lentement le long de sa lèvre intime. Une fois en bas, la pointe de ma langue glisse entre ses
    lèvres et son anus et remonte très lentement par l’autre côté.

    Pendant que je remonte, mes doigts écartent très doucement ses lèvres pour isoler son clitoris.

    Je m’approche, m’approche encore. Elle pousse un soupir de soulagement lorsqu’enfin mes
    lèvres s’en emparent.

    Je déguste son bouton d’amour avec délectation. Mon Dieu mon amour, tu es délicieuse. Ma
    langue le lèche, tourne autour, monte, redescend en alternant vitesse et lenteur, force et douceur.
    Sa cyprine est un divin nectar.

    Son clitoris gonfle sous les assauts de mes lèvres et de ma langue. Hammaïdini a placé plusieurs énormes coussins sous le dos de Sarah, elle se glisse ensuite entre les coussins et notre amour.
    Hammaïdini est couchée sur les coussins et Sarah est allongée sur elle. D’une main elle caresse les cheveux de Sarah, de l’autre sa poitrine. Elle l’embrasse doucement dans le cou.
    Elles me regardent toutes les deux au fond des yeux. L’excitation monte en flèche. Elles sont
    divines et j’ai la chance de leur faire l’amour à toute les deux. Je les aime, elles m’aiment et
    elles s’aiment. C’est le paradis.

    Doucement, je fais entrer un de mes doigts en Sarah. Très lentement. Il s’insinue en elle. Chaque millimètre de mon doigt caresse son vagin. Sa cyprine chaude glisse tout le long de mon doigt et continue sa course le long de ses lèvres intimes. Son corps se cabre et tremble. Ma main libre passe sous sa cuisse et revient sur sa hanche pour la tirer contre ma bouche, la laissant sans défense face à mes délicieuses tortures.
    C’est ce que l’on appelle la « loi de la vexation universelle » : ma bouche et mes mains sont
    comblées et c’est à nouveau mon sexe qui la réclame. Pourtant il devra attendre, d’autant que tes mouvements de plus en plus violent me confortent, l’orgasme n’est pas loin…
    Hammaïdini, les yeux brillants de désir nous dis : – je vous aime mes amours, vous êtes ma
    vie.
    Sarah lui réponds : – je vous aime aussi.
    Toujours occupé à la lécher, je laisse mes yeux leur répondre. Je sens les vagues de l’orgasme
    monter en Sarah. Elle tourne la tête pour embrasser Hammaïdini. Leurs langues combattent
    intimement.
    Cette fois, il est là, quelques secondes plus tard, en effet, dans un cri de libération, la jouissance la submerge et elle éjacule, m’inondant le visage et le torse. Le liquide de « skène » est chaud et doux, symbole du plaisir ultime il trempe le drap de lin.
    Lorsque les spasmes de son corps s’apaisent, je l’aide à se tourner sur le côté. Je replie une de ses jambes, me glisse entre les deux et entre en elle avec délicatesse. D’une traction sur la cuisse de la jambe repliée je « l’empale » sur mon sexe qui me fait mal tant il est dur.

    Sarah de ses mains aide Hammaïdini à se redresser et à placer ses genoux de chaque côté de sa tête, face à moi. Les mains posées sur ses fesses, Sarah lèche Hammaïdini pendant que je m’anime en elle. Une de mes mains caresse la poitrine d’Hammaïdini qui tremble sous les coups de langue de Sarah.

    Leur corps est un ravissement pour mes yeux qui s’emplissent de leur beauté. Entièrement
    épilés tous les trois, nous pouvons ressentir toute la douceur de nos sexes qui fusionnent et de nos bouches et de nos doigts qui s’en emparent. Débarrassé de tout poil, mon « glaive » d’amour ressent toute la douceur du sexe de Sarah lequel m’épouse à la perfection.

    Sous l’excitation, Hammaïdini pétris les seins de Sarah, pendant que je caresse les siens. Sous
    le souvenir de mes « assauts » sur notre amour, Sarah réclame elle aussi plus de fermeté. Alors, je l’aide à se retourner. A nouveau je descends du lit et reprends possession du corps de Sarah.
    Hammaïdini, elle aussi, s’est retournée et se trouve recroquevillée sous Sarah. J’ai compris le
    message mes amours…

    Durant de longues minutes je prends respectivement Sarah et Hammaïdini. Je caresse l’une
    pendant que je suis en l’autre. Ce n’est pas un homme qui fait l’amour à deux femmes, c’est
    trois êtres qui s’aiment et fusionnent. Sarah avec une infinie douceur embrasse le cou
    d’Hammaïdini qui frissonne de plaisir. Chaque fois que je replonge en elles, elles soupirent de plaisir.

    Nouvelle preuve qu’elles sont amour l’une pour l’autre. Sarah échange sa place avec notre
    amour afin que celle-ci soit au-dessus et plus à l’aise. Ma respiration s’accélère au fur et à
    mesure que mes assauts se font plus forts et rapides. Leurs gémissements se font cris, les miens deviennent râles. Dans un souffle je dis : – mes amours, je suis si bien en vous. Vous êtes si douces. Je veux rester en vous toute la nuit.

    A nouveau, s’en s’être concertées, elles se redressent et me couchent sur le dos. La bouche de Sarah s’empare de mes testicules, Hammaïdini au-dessus de moi prends mon sexe dans sa bouche. Son pubis placé juste au-dessus de moi est trop tentant. Ma bouche s’en empare
    avidement. Mes deux amours dévorent mon sexe et mes testicules qu’elles se partagent à tour de rôle. Hammaïdini tressaute sous mes coups de langue. Son clitoris gonfle plus encore, lorsque je l’aspire et le presse entre mes lèvres. Mon Dieu : leurs lèvres et leur langue sont si douces. Mon sexe, honoré par ces deux Déesses, devient encore plus dur. Je laisse échapper : – c’est bon… c’est si bon…

    Hammaïdini joui une nouvelle fois. J’appelle alors Sarah : – viens aussi mon amour. Laissesmoi te lécher.
    Sans se faire prier, elle se retourne et notre amour prend sa place.
    Ma langue et mes lèvres se délectent du clitoris, des lèvres et de la cyprine de Sarah qui pousse un gémissement plus fort lorsque j’aspire également son bouton d’amour. Durant plusieurs minutes, nous nous dévorons mutuellement. Soudain, pris d’une inspiration, je demande à Sarah de se retourner. Je la guide, elle se couche sur moi, son dos collé contre ma poitrine.
    Ma tête entre ses cuisses, la sienne contre mon sexe. Je replie en partie les jambes. Mes amours ont compris ce dont j’ai très envie. Hammaïdini me chevauche, mais elle ne peut entrer que très légèrement en moi, mais c’est le but. Seul le bout de mon sexe est en elle. Ses fesses sont posées sur mes jambes pliées. De ses mains posées sur mes genoux, elle se retient pour ne pas écraser le visage de Sarah, laquelle, la tête entre ses jambes, nous caresse avec sa langue.

    Peu connue, cette position est divine et très excitante. Hammaïdini aidée de ses bras, s’anime
    pour me faire glisser en elle et nous sentons la langue et les lèvres de Sarah qui nous lèche tous les deux. Nous sentons sa langue glisser sur mon sexe et les lèvres intimes d’Hammaïdini, qui soupire d’aise.

    Moi aussi, je soupire tant ce que je ressens est délicieux. Ma bouche ne reste pas inactive, elle s’empare des lèvres et du clitoris de Sarah, tandis que mes mains honorent sa poitrine.
    Notre jouissance est continue, le plaisir de chacun s’accumule avec celui des autres. Cette
    jouissance qu’on ne peut connaître qu’à trois est incomparable.

    C’est à la fois délicieux et frustrant. Le fait que seul le bout de mon sexe soit en elle me rend
    fou, j’ai envie de la posséder totalement. Mais, en même temps, la bouche de Sarah me procure un tel plaisir que la tête me tourne. C’est la magie de cette position, ce mélange de frustration et de délicieux plaisir. Après quelques minutes, mes amours échangent leur place et c’est au tour de Sarah de s’empaler sur moi et ma langue prend possession du clitoris d’Hammaïdini, laquelle nous prodigue de délicieux coups de langue.
    A nouveau, je dois me détendre et reprendre de l’air car le plaisir menace de me submerger. Je préfère jouir en continu en même temps qu’elles plutôt qu’en éjaculant.

    La frénésie sauvage qui nous tient nous guide dans la recherche de notre plaisir. Sarah qui s’est couchée prends à son tour le clitoris d’Hammaïdini entre ses lèvres, laquelle prends mon sexe entre les siennes et, je guide Sarah à se retourner vers moi afin que je la « déguste » elle aussi.

    Dans cette divine « boucle », nous prenons et nous nous donnons du plaisir les uns aux autres.

    Nous ne savons pas depuis combien de temps nous faisons l’amour mais c’est tellement
    merveilleux que je ne veux pas savoir combien de temps il reste jusqu’au matin.

    J’ai une nouvelle envie et je sais que mes amours vont l’apprécier, tout en me maudissant. Je
    viens au-dessus de Sarah et je guide mon membre pour l’enfoncer de quelques millimètres
    seulement en elle. Hammaïdini lui prends la main. Sarah qui a compris me dit : – tu ne vas pas faire ça ?

    Je fais oui de la tête. Elle répond : – tu es un sadique, tu sais ça ?
    Une nouvelle fois je fais oui de la tête. Hammaïdini qui a aussi compris dis à Sarah : – nous
    nous vengerons après mon amour.
    Elle répond : – oui, il va nous le « payer ».
    Avec un sourire je dis : – sauf qu’avant, c’est vous qui allez « souffrir ».
    Pour confirmer mes propos, je m’enfonce encore mais de quelques millimètres seulement.
    Sarah de ses mains sur mes fesses tente de me forcer à entrer plus profondément en elle mais je résiste. Je m’anime doucement en elle mais sans dépasser quelques millimètres. Seul le bout de mon sexe est en elle. C’est une délicieuse torture
    Elle me frappe le torse de la main : — ne me laisse pas comme ça. Viens, prends-moi complètement.
    Je réponds : — bientôt.
    Je continue ce jeu qui peu à peu rend Sarah folle de désir. D’un regard complice, Sarah fait une demande silencieuse à Hammaïdini, celle-ci vient derrière moi et, soudain, me pousse vers Sarah.

    Alors, je me laisse enfin aller et pénètre Sarah complètement qui pousse un cri, libérée.
    Je m’arrête quelques secondes en elle. Je ferme les yeux et « ressens ». Ressens la douceur de son intimité qui épouse la mienne, la douce chaleur de sa cyprine qui m’inonde. Le velouté des lèvres d’Hammaïdini, collée contre moi qui m’embrasse dans le cou.
    Son pubis contre mes fesses, ses seins magnifiques tout contre mes omoplates. Les mains de Sarah qui, posées sur mes hanches, me tirent au plus profond d’elle.

    Grâce à la cohérence émotionnelle, je vis chaque seconde pleinement.
    J’ai les yeux qui s’humidifient tant le bonheur est puissant. Je les aime de toute mon âme, de tout mon cœur, de tout mon corps.
    Lentement, je reprends mes mouvements en elle. Sarah pousse un soupir de bonheur de me sentir à nouveau glisser en elle.

    De nouveau, nous perdons toute notion du temps. Le plaisir déferle sur nous en vagues continues.

    Après Sarah, c’est à Hammaïdini que je prodigue la délicieuse torture de n’entrer que très peu en elle.
    Durant de très longues secondes, seul mon prépuce est en elle, la rendant folle de désir. Elle n’en peut plus : — mon amour, je t’en supplie : prends-moi complètement. Ne me laisse pas comme ça.
    Je suis de nouveau debout à côté du lit et Hammaïdini se trouve sur les genoux et les mains au bord du lit.
    Je ne le fais pas par sadisme, mais parce que je sais qu’au moment où je m’enfoncerai enfin en elle, la délivrance va lui procurer un plaisir indescriptible.
    Sarah, sous elle, nous lèche et nous caresses doucement.
    C’est alors que je décide le moment le plus atrocement délicieux de cette « torture ». J’affermis mes mains sur les hanches de mon cœur et je me retire lentement et fais exactement comme si j’allais m’enfoncer violemment en elle. Je tire très fort sur ses hanches, la pointe de mon sexe s’introduit en elle très rapidement, mais s’arrête au tiers, et je relâche complètement ma traction.

    Hammaïdini me lance à son tour un juron sonore. Je lui réponds : — attends mon amour, le pire est à venir.
    — Non, pas ça.
    Sarah ajoute : — nous lui ferons payer mon amour, je te le jure.
    Mais pendant ce temps, j’ai recommencé mon « manège » : affermir mes mains sur ses hanches et me tirer brusquement en elle pour m’arrêter sans la posséder totalement.
    La puissance de l’excitation de ce « jeu » est que mon amour ne sait pas à quel moment je vais vraiment m’enfoncer en elle. Chacune des fois où je me contracte pour me tirer en elle peut être la bonne, mais c’est le but. L’excitation se mêle à la frustration. L’excitation de savoir que ça va arriver, la frustration chaque fois que je m’arrête jusqu’à….
    Après quatre ou cinq « faux départ ». Je me contracte une fois de plus, elle aussi se contracte
    dans l’attente de mon assaut…
    Soudain, je plonge brusquement en elle sans m’arrêter cette fois.

    Hammaïdini pousse un cri de libération quand mon pénis la possède entièrement et
    complètement.
    Je lui demande : — alors mon amour, ça ne valait pas la peine d’attendre ?
    Elle me fait oui de la tête.
    Cette fois je m’anime complètement. Mon sexe entre et sort de son corps entièrement.
    Sous la frustration d’avoir été privée de mon membre intime durant plusieurs minutes,
    Hammaïdini, se jette violemment sur moi, je dois m’ancrer fermement sur ses hanches pour
    résister à la force de ses fesses qui frappent mon bassin.

    Le plaisir déferle sur nous en raz de marée, nous jouissons ensemble, nous jouissons de concert.
    A cause de la violence de nos corps qui se jettent l’un contre l’autre, Sarah ne peut plus nous
    caresser alors de ses mains posées sur mes fesses, elle accompagne mes mouvements de sorte qu’elle peut ressentir le plaisir d’Hammaïdini comme si c’était le sien.
    Alors que nous sommes essoufflés par la violence de ce corps à corps, un nouvel orgasme
    survient. Hammaïdini éjacule et le liquide chaud inonde mon sexe et mes cuisses, coulant le
    long de mes jambes.

    Pendant que nous reprenons notre souffle. Sarah m’a aidé à me coucher. Car, malheureusement, ou heureusement, elle n’a pas oublié qu’elle veut me « faire payer » pour ses délicieuses tortures auxquelles je les ai soumis.
    Elle donne un ordre mental à l’ordinateur de l’écrin et des liens de soie apparaissent par
    téléportation. Elle les noues aux piliers du lit, cette fois c’est moi qui vais « déguster ».
    Hammaïdini qui a récupéré, l’aide. Elles m’attachent ensuite les pieds et les bras en croix. Je
    me laisse faire malgré que je sais ce qui m’attends.

    Une fois incapable de bouger, c’est là que MA torture commence. Hammaïdini s’est mise audessus de moi, les genoux de part et d’autre de ma tête. Son pubis à quelques millimètres de mes lèvres. Je tente de relever la tête afin de la lécher mais de ses mains, elle m’en empêche.
    C’est horrible, je voudrais poser la langue sur son clitoris et je n’y arrive pas.
    Hammaïdini reprend au contraire de la hauteur et glisse un coussin sous ma tête. Elles veulent que je vois ce qu’elles vont me faire.

    Elles approchent leurs lèvres de mon sexe. Elles les entrouvrent comme si elles allaient le
    prendre en bouche mais… s’arrêtent à un ou deux millimètres. Je sens leur souffle chaud sur
    mon membre tendu vers elles.

    Elles font la même chose avec leurs doigts, elles le caresse sans le toucher. De contraction
    musculaire et de mouvements de mon bassin, je tente de les toucher mais elles anticipent mes mouvements et s’écartent pour ne jamais me toucher.
    Je sais que je l’ai mérité mais c’est atroce. L’envie et le désir de leurs lèvres, leur langue et leurs doigts me rendent fou.

    Sarah pousse même le jeu encore plus loin : pendant qu’Hammaïdini continue de « faire
    semblant » de me prendre dans sa bouche, Sarah se redresse et se place à califourchon au-dessus de moi. Elle approche ses lèvres intimes de mon sexe et, en touche le bout. Je sens son clitoris m’effleurer. Mon Dieu : c’est atroce. Elle aussi fait « semblant » de s’empaler sur moi, mais se retire dès que je sens mon sexe toucher l’entrée de son vagin.

    Je sens son intimité humide juste sur le bout de mon membre qui est douloureux à force de
    raidir. Hammaïdini quitte sa position pour se retourner, m’embrasser et me dire : — oh mon amour, tu n’as pas l’air bien. Tu veux quelque chose ?
    Sarah souris et dit : — on dirait que notre amour a très, très envie de nous.
    N’y tenant plus : — je vous en supplie, laissez-moi vous prendre.
    Mais, sans se concerter, elles échangent de place et c’est au tour d’Hammaïdini de caresser le bout de mon sexe avec son clitoris. Pendant que Sarah approche la pointe d’un sein de mes lèvres. Je tente à nouveau de relever la tête pour m’approcher de sa divine poitrine, mais elle se retire dès qu’elle perçoit un mouvement. Le galbe de son sein qui me nargue à quelques centimètres de mes lèvres qui désirent le parcourir me rend complètement fou, et elle le sait.

    Hammaïdini corse la situation en me laissant m’enfoncer de quelques centimètres puis…. Oh
    non. Elle m’imite. Elle contracte ses muscles, fait semblant de se laisser tomber sur moi, puis
    se retient.
    — Mes amours c’est atroce.
    Sarah : — tu aurais dû y penser avant de nous faire languir.
    Mais comme pour démentir ses paroles, elle consent enfin à laisser mes lèvres s’emparer de la pointe d’un sein. Et Hammaïdini se laisse tomber sur mon sexe qui l’explore et la possède totalement. Je pousse un cri au moment où je suis enfin au fond d’elle. Elle se penche vers moi et nous nous embrassons tous les trois. Au même moment, une même phrase franchit nos lèvres : « Je vous Aime ».

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